Au Québec, entre 40 et 60 % des personnes âgées de 65 ans et plus hébergées dans des centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD) prennent des antipsychotiques sans avoir reçu un diagnostic de psychose. C’est pourquoi plusieurs CHSLD québécois se lancent dans une démarche visant à réduire la prise d’antipsychotiques pour améliorer la qualité de vie des résidents.